JE SUIS DESOLE 

(à vous les femmes...)

Je suis désolé, croyez-le bien,

De cet irrespect, des ces propos

Que vous supportez au quotidien

Que vous entendez dans votre dos

Je suis en colère, à plus d’un titre !

Car je vous comprends, je pense,

Devant cacher ma nature par peur de  défiance,

Je sais ce que c’est que de se cacher…

Je hais les conflits, voilà qui est dit.

Dès lors, j’ai renoncé à la lutte,

Car je crois que l’humain est pourri

Et par conséquent préfère me taire…

Je n’ai pas d’autre choix, de par mon éducation,

Que celui du silence, et laisser aux femmes la voix de la raison

Car j’ai conscience de mes préjugés, de façons d’être

Faisant de moi qu’un piètre défenseur de vos conditions…

Paroles de cœur

Que ce soit par les yeux, ou les sentiments,

Ou mes mains qui tremblent, ou mon cœur battant;

Je rêve, je plane, et je m'envole

Vers toi, vers la pureté qui t'auréole.

L'on vient à peine de se rencontrer,

Que je suis déjà sous ton charme...

Le sort voudrait nous séparer,

Rien qu'à l'idée m'effleure une larme...

Ayant dès lors été conquis, je te dédis ces quelques vers.

Ils seront bien longs, ces quelques mois,

Mais je t'en conjure, attends-moi !

Te voir lorsque je toucherai terre

Serait un cadeau merveilleux,

Digne de la patience des amoureux

Sur un air de Bruxelles

Tu sais, depuis que je t'ai vue,

C'est ton bonheur que j'ai voulu

Crois moi, chaque fois qu'j'suis dans le noir

C'est ton sourire que je veux voir

Il n'y a pas un seul moment

Pas un soupir, pas un instant,

Il n'se passe pas un jour, une heure

Sans qu'ta pensée ne m'chauffe le coeur

Aussi, j'ten prie, ne doute jamais

Quand je te dis que tu me plais...

Vois-tu je suis un peu fragile,

J'aime pas prendre de risques inutiles

Mais seulement voilà, maint'nant j'en suis sur,

Reste près de moi car tu me rassures

J'ai eu des moments d'égarement,

Sans cesser de m'ronger les sangs,

Remake de 20000 lieues sous les mers

J'ai bien cru finir en Enfer

Mais maint'nant je l'sais, là j'en suis certain,

Tu es près de moi, et je me sens bien

Il suffit d'un regard...

Comment rester indifférent à ces yeux noisettés ?

Un simple regard suffit à vous envouter

Et, comme devant les plus magnifiques joyaux,

L’on ne peut se détacher de ces yeux si beaux…

J’espère que le temps ne va pas me manquer,

Je prie pour qu’enfin l’étincelle qui jaillit

Sera  celle qui fera de mon cœur désolé

Un brasier ardent, une source de vie

Je m’avance sûrement, mais comment ne pas céder ?

D’un simple regard, je me sens transporté,

Une voix enfin me fait s’envoler,

Me sera-t-il enfin permis d’espérer.. ?

Dis moi, très chère...

Que dirais-tu, si tu le veux,

De se promener la bas, tous les deux ?

J'aggriperais mes doigts aux tiens,

Nous irions ainsi, main dans la main.

Entends-tu poindre, la-bas au loin

Ce bruissement, signe d'un doux destin ?

J'aime à penser que tu ressens, comme moi,

Le désir d'un contact plus fort, moins froid.

La beauté de ces lieux, aussi grande soit-elle,

N'a d'égale à mes yeux que cette belle demoiselle

Qui se tient à mes côtés,

Tremblante d'un baiser.

Grand fou que je suis, ce rêve délicieux

Ne sera hélas qu'un de ces songes malheureux

Qui me torturent l'esprit,

Qui ne prendront jamais vie...



L'Amour est mort...

Et ce n'est pas peu dire. Le mot est fort

mais adéquat, en ces temps troubles et gris

Qui exigent tant de de maux et d'efforts

Pour finalement se voir éconduit...

C'est à n'y rien comprendre de ce qu'exige le beau sexe

Qui parle de tendresse, d'amour et de bonheur;

Mais atirées par l'inverse, rendent la chose complexe

Et brisent en miettes bien des coeurs...

Diable de jeu ! Que l'on nomme "séduction",

derrière un nom si aguicheur

Se cachent vilainie et déception...

Ouvrez les yeux, cessez de jouer,

Car bon nombres en gardent rancoeur

D'avoir un espoir, mais si vite rejeté...



SI NOUS DANSIONS ?

Au soleil de midi ou clair de lune,

Allons, mademoiselle, d'un pas entrainant !

Je n'aurai de cesse de mesurer ma fortune

Dans ce coin de verdure où s'embrassent les amants...

Sur des valses viennoises ou un jazz laconique,

Sur une piste da danse ou un ballet classique,

Tu approches, tu fuis, tu reviens, tu m'enlaces...

On se touche, on se frôle, hors du temps, de l'espace...

Inutile de parler, ni de réfléchir,

Laissons-nous aller, laissons-nous agir,

Ressens, ne pense pas...

Tantôt taquine, tantôt mielleuse,

Et puis lutine, et puis amoureuse,

Continue de danser avec moi...